The Rules of Attraction

A postmodern book a bit out of its era, so it feels cliché.

Brett Easton Ellis perfectly capturing a moment and place and people - drug addled college students and their empty experience of love and sex.

Great use of subjective narratives, seeing the same event from different viewpoints adds a lot of depth and hilarity to the situation.

It beggars belief
they must be spreading herpes
thrush from head to toe.

J'ai eu du mal à entrer dans ce roman, j'ai même failli laisser tomber après une trentaine de pages. J'ai persévéré, et j'en suis plutôt heureux car j'ai fini par me laisser entrainer par ce récit d'un triangle amoureux dans une université américaine au coeur des années 80. Dans la lignée de “Moins que zéro”, “Les lois de l'attraction” est parfois désespérant, par la vacuité de la vie des étudiants que l'on suit, mais peut-être plus intéressant que le précédent. J'ai bien aimé, finalement.

After reading Glamorama this seems pretty tame in comparison though it was nice to revisit Victor before he was the vapid waste of space in Glamorama. Overall I enjoyed the book and I really enjoy Ellis' style of storytelling.