Roman intéressant et qui plonge très rapidement le lecteur dans l'intrigue. Petit reproche sur la fin un peu bâclée à mes yeux. Le personnage de Skye est assez peu travaillé et le parallèle dessiné avec Hannah par Clay est trop grossier. D'un coup il réalise qu'elle présente des signes similaires à Hannah avant son suicide, bof on y croit moyen, l'auteur aurait pu amener cette intrigue de manière plus subtile ; la durée (une nuit) a sûrement dû le contraindre à écrire ainsi.
Découverte de l'autrice suite à une recommandation dans un podcast. La premières pages j'étais perplexe, je trouvais le fil décousu.
J'étais dans l'attente de quelque chose. Sans le réaliser, je me suis retrouvée happé par le style d'Annie Ernaux et par la violence de ce qu'elle a vécu.
Lecture pour bronzette sans réflexion. J'avais oublié à quel point c'était cucul et la romance tournait autour du pot.
Superbe suite avec les aventures du Mulet et les révélations sur la 2nde fondation, j'ai énormément apprécié ce tome.
Bon par contre, on repassera pour la représentation des femme encore une fois : elles sont soit absentes (mortes comme la mère d'Arcadia), soit maîtresse, soit enfant.
Wahou ! L'écriture est incroyable, c'est brutal, je me suis retrouvée sur le bateau aux côtés de la narratrice. J'ai moins accroché à ces relations avec les hommes.
Un peu mieux que les précédents, 1 ou 2 scènes de sexes marrantes. Mais on a l'impression que Mia a des trous de mémoires avec ce livre sur le thème de Thanksgiving. L'héroïne oublie qu'elle a commencé l'année en tant qu'escort/prostituée, au contraire elle est reconnaissante de cette année qui s'achève pour toutes les belles rencontres qu'elle a pu faire. On croit halluciner.
Le ton général reste supportable, malgré beaucoup de niaiseries sur la relation Wes/Mia. Les derniers chapitres sur le padre de Mia n'ont pas bcp de sens, l'écriture laisse sentir que même l'auteure en a marre d'écrire cette merde et décide de boucler/bâcler le retour du père dans l'histoire. Rappelons tout de même qu'il est l'élément qui a déclenché tout le bordel et cette désastreuse série de 12 tomes. Mais non, l'auteure ne fait même pas d'efforts pour nous présenter un personnage un minimum bien écrit et intéressant.
Octobre ou le mois où Mia a découvert les pouvoirs de son vagin magique sur Wes qui souffre de PSTD suite à sa prise d'otage.
L'auteure tente de faire croire au lecteur que c'est Mia qui ramène à la lumière son “Bébé” (en français on a l'impression d'assister aux ébats de 2 beaufs mais passons) alors qu'en réalité tant que monsieur a un vagin à fourrer.
Bref plus, en posant l'ouvrage on pense à la libération qui arrive dans 2 tomes !
NB : ah oui, un peu de bon sens la dette est enfin payée, merde il était temps.
Cette fois-ci l'auteur nous balade pendant tout le livre avec ce nouveau contrat et surprise surprise, Mia a un frère caché. Cet arc narratif est juste super nul et visible dès le premier chapitre. Faudrait peut-être arrêter de prendre les lecteurs.trices pour des idiot.es merci !
J'ai bien accroché sur la première partie grâce à la découverte d'un nouvel univers, un peu plus perplexe sur la guerre religieuse qui se profile. à voir l'évolution dans les prochains tomes !
On atteint des nouveaux fonds avec ce mois-ci Mia qui subit des violences sexuelles. La question aurait pu être traitée de manière intelligente mais non, l'héroïne applique la logique du "greater good", ridicule !
L'origine des esprits de famille est intriguante. Moins convaincue par l'histoire entre Thorn et Ophelie.
Les mêmes clichés éculés pour faire de ce soft porn un livre qu'on oublie aussi vite qu'on l'a lu.
Mia se débat avec le choc de ce qui lui est arrivé dans le précédent tome.
Le livre prend un virage très cucul qui le desservit. Où sont passées les scènes de sexes qui rendaient supportable la lecture ?
Incursion passionnante dans nos intérieurs. Perso, pas une lecture de chevet car bcp d'infos et j'ai souvent eu envie de checker les différentes architectures décrites dans le livre.
Toujours dans la même veine que les précédents tomes, ce tome-ci ne déroge pas à la règle des clichés.
Le nouveau client du mois est brut de décoffrage et macho pour une raison toute simple : sa mère est morte du cancer du sein quand il était jeune, laissant son père l'élever seul lui et ses 3 frères.
Dieu merci, l'auteure corrige ce vilain défaut en le propulsant philanthrope pour lever des fonds pour une association de lutte contre le cancer du sein. C'est un joli geste, malheureusement gâché par l'auteure qui tombe encore dans le tout-cuit. Notre joueur de baseball émeut toutes les femmes de la salle (mais pas les hommes apparemment) lorsqu'il récolte une somme importante en l'honneur de sa maman. Bravo et vive les clichés !
Relecture 2020 : 4/5, plus intense que le précédent avec cette plongée dans les motivations de l'opération.
Relecture 2020 : “Glacial” comme dirait Tally.
La ficelle écologique est un peu grossière, une fable écolo qui peut se révéler intéressante pour des enfants.
On continue dans la série de clichés avec cette fois-ci le boxer/italien/PDG qui n'assume pas son homosexualité, évidemment son partenaire est excellent pour choisir les fringues et emmener l'héroïne faire du shopping. C'est dommage d'avoir encore aujourd'hui une littérature érotique incapable de se passer de clichés.
Ça aurait pu être agréable d'avoir la mama italienne PDG de l'entreprise familiale au lieu que l'auteur lui colle ce prétendu désir d'avoir un fils hétéro pour qu'il perpétue la dynastie familiale.
De même, Hector le partenaire aurait pu avoir d'autres passions que le shopping et parler de ses sentiments tandis que Tony aurait pu sortir de son moule de boxer gros dur.
Relecture 2020 : 4/5, un poil trop enfantin. Ça reste toujours très cool de découvrir un monde et son fonctionnement.
Ce tome est un poil plus marrant avec les précédents, mais on ne décolle guère avec les nombreux clichés sur les frenchies.
Roman sexy sans plus, qui se lit très facilement. Rien d'extraordinaire, les scènes de sexes sont peut-être un peu mieux écrites par rapport à la littérature du même style, type 50 shades.