I picked up this book in an hostel on holidays and wasn't disappointed. It was funny with an interesting plot and good written characters. Can't wait to read the sequel back home. Maybe it would have been nice if the author didn't try to paired up in a romantic way the characters in the team. Live this new univers!
Lecture prenante, twist réussi, seul bémol : les révélations se déroulent très vite dans la 2e partie.
J'ai adoré ce livre, je l'ai lu d'une traite, pas décroché une seule seconde. Le ton reste juste en 2018. Je l'ai lu suite à mon enthousiasme pour la série télévisée et je n'ai pas été déçue, intéressée par les similitudes et différences entre le livre et l'adaptation.
J'aime beaucoup le style de l'auteure, le lecteur est embarqué avec Defred, assis à côté d'elle sur son lit à sentir les voilages sur son visage, bravo !
Les hommes ne sont qu'une stratégie des femmes pour fabriquer d'autres femmes.
La plume de Veil est incisive et franche, pour nous dresser son portrait et avec elle, presque un siècle d'histoire. Passionnant et très émouvant, sa rigoureuse honnêteté nous emmène dans les chemins les plus sombres de l'histoire à ses moments de gloire. J'aime beaucoup son style “une page de lumière”. Un petit bémol sur la fin avec son amour pour Nicolas Sarkozy qui manque un peu de recul à mes yeux (évidemment à remplacer dans le contexte de l'écriture 2007).
L'univers est plaisant, j'ai dévoré ce livre en 2j.
Très curieuse des esprits de famille et pour une fois, pas de cliché du mariage forcé qui devient de l'amour, validé !
Génial, j'adore toujours découvrir le fonctionnement mis en place et les règles inventées dans des situations de crise, la manière dont les survivants s'en sortent. Très d'actualité avec la pandémie actuelle d'ailleurs, cette vie en confinement.
Je me suis laissée attraper par Emmanuel, ce personnage fascinant qui dirige la communauté Malevil dans la tourmente. Les notes de Thomas sont un discret rappel que c'est LE récit d'Emmanuel et donc sa manière de voir, d'interpréter les événements et de s'en souvenir.
Le cadre des années 70 demeure avec une répartition genrée des tâches : si les femmes (jeunes) apprennent à se défendre, les hommes ne manient jamais l'économe.
Je reste sceptique sur la mise en “communauté” des femmes et la manière dont c'est amenée par le charismatique Emmanuel qui exerce une fascination sur tous les membres de cette communauté. Surtout que Miette, muette de surcroît pratique, ne participe pas aux débats concernant cette nationalisation de son corps par l'Etat Malevil au titre des besoins de ses citoyens et de la continuité de la civilisation.
La scène avec Agnès vers la fin m'a également dérangée. Alors qu'elle raconte son viol par Vilmain et sa troupe, Emmanuel ne peut retenir son désir et à force de cajoleries lui fait “entendre” son point de vue. Bam, elle se fait violer à nouveau.
Les relations avec Evelyne, même si elles restent platoniques tout du long, sont à la limite de la pédophilie : ce que j'imaginais pour une innocente relation père-fille dans les premières pages de leur rencontre est clairement écarté par le personnage d'Emmanuel, mettant mal à l'aise Peyssou lui-même (le paysan qui n'en rate pas une sur les blagues cochonnes).
Lu d'une traite le dimanche post-armada. Très émue par le dénouement de l'histoire de Rachel et Sid.
Se lit vite avec un vice-commissaire archi lourd sur les commentaires de la nouvelle psy à son goût ou de son assistant et sa pratique de l'Islam. Les “blagues” lourdes desservent l'intrigue. Assad apparaît comme un atout indéniable au nouveau département V.
Lecture express, Bella est vraiment agaçante à se morfondre d'amour pour Edward.
D'ailleurs leur rupture apparaît complètement à côté de la plaque, comment a-t-elle pu y croire ? Sacré excuse bidon : gnagna tu es en danger avec moi.
Limite les moments avec Jacob sont les plus agréables à lire. Elle a de vrais activités tandis qu'avec Edward on n'a jamais su vraiment ce qu'ils faisaient de leur temps (à part s'extasier sur leur beauté respective sans passer à l'action).
Funny to read but not realistic at all: the crush on the sister's boyfriend, the way things start between Peter and LJ among other stuff.
Gloria Steinem nous entraîne dans sa vie sur les routes, où s'entremêlent ses combats féministes, les moments de bonheur partagés lors de ses interventions à l'université et en mettant dans les mains de lecteurs et lectrices une histoire féministe quelque peu oubliée, telle que la Conférence des Femmes de 1977.
Cette lecture m'a laissée animée d'une volonté d'agir, prête à enfourcher ma bécane violette pour poursuivre cette route inspirante !
A lire et relire et à conserver précieusement dans sa bibliothèque féministe.
Avis mitigé, certains passages sur sa relation avec son père m'ont émue mais d'autres m'ont laissé songeuse (le cul non stop). Quand je lis aussi vite un livre, j'ai juste l'impression de le consommer sans qu'il ne laisse une trace.
Très belles descriptions de l'Ecosse et enquête intéressante. La météo capricieuse accompagne le héros tout au long de l'enquête et nous plonge, lecteur, dans l'atmosphère de l'île. Il me tarde de commencer le suivant (cet ouvrage fait parti d'une trilogie).
J'adore le relire, toujours aussi prenant. Découvrir une dystopie avec ses codes et traditions, grâce à une écriture claire et précise.
J'ai apprécié la lecture, même si j'ai moins ressenti la vivacité de l'île dans ce second ouvrage.
Nice reading for the summer and even though the ending can be predicted after a few pages.
Pleasant to read but that's it. The intrigue is too “easy” and the romance boring.
Assez excitant de découvrir les lois de la robotique dans cet ouvrage.
Les discours des perso féminins sont du lourd putain : Joie qui parle de son cul et ses kilos en trop, ça n'a pas vieilli décidément le body shaming
Plus d'actions et Bella moins geignarde ont facilité les choses. Avoir des chapitres du point de vue de Jacob ont grandement aidé également.
Mais bon ça reste grave sexiste tout ça.
Je suis toujours effarée par Charlie et son incompétence en cuisine. Il faut toujours que des meufs lui fassent à manger. Même pas il ne daigne faire la vaisselle et préfère poser son cul devant la TV.
Seulement 3 étoiles pour ce qu'il me fait ressentir : pas de happy end possible, ce qui fait sentir comme une vieille chaussette orpheline.
Katniss devient insaisissable, Peeta s'efface. Ce livre est carrément déprimant et encore plus en concluant la saga Hunger Games.
J'ai dévoré ce thriller. Une écriture précise qui se révèle glaçante, l'intrigue se révèle au fil des pages telle une matriochka.