Raphaëlle
Loved it! I was happy to get back with the characters and eager to discover more about the amplifiers and the mystery Sturmhond. I'm still dubious on the Mal/Alina romance and how every man she encounters falls for her, but I enjoyed the ride. On to the next one!
J'aimais bien le pitch de base, ce pouvoir qui faisait peur aux hommes. Mais ça s'est étiré en longueur avec cette analogie fuseau/phallus.
Agréable à lire, les personnages féminins sont un peu trop caricaturaux à mon goût : la secrétaire sexy qui sait seulement faire la steno et parler trop au journaliste du coin, la monitrice sexy qui ne sert à rien dans la narration à part pour mettre en relief les ados obsédés et Madi la 3e du trio, une dure à cuire au cœur d'artichaut.
C'est dommage, utiliser ce genre de personnages donne l'impression d'un écrivain paresseux qui se rabat sur des clichés éculés pour faire vivre son histoire.
J'ai dévoré ce livre : l'écriture est fluide et l'intrigue prenante. Je me suis sentie transportée dans ce monde de poussières et chaleur où l'entraide prend une toute autre dimension. Une humanité vibrante.
Juste dérangée par ce happy ending qui ne pose de soucis à personne et par le rôle que Nathan endosse à la fin (amant, père, fils prodige, patron, juge, dieu).
Je suis tentée de lire d'autres histoire sur l'outback australien pour mieux en saisir les contours et les problématiques qui lui sont propres.
Se lit vite, intrigue intéressante et personnages complexes. Petit bémol, on comprend rapidement la machination vers le milieu de la lecture.
Le lecteur retrouve avec plaisir la plume de Joël Dicker. Son utilisation des chapitres en différents points de vue et flashbacks est intéressante. Voilà un roman qui se dévore mais nous laisse un peu perplexe dans sa révélation, dommage !
Not the best book by Leigh Bardugo in my opinion. Great story for Nina but the romance between Nikolaï and Zoya will just earn a meh from me.
“Poilar” un peu lourdingue, avec des références littéraires ad nauseam. La fin est surprenante mais pas suffisamment pour lire les 400p précédentes truffées de clichés sur les femmes et les noirs tous plus lourds les uns que les autres.
Intrigue correcte, se lit vite, un peu chiant l'histoire d'amour cousu de fil blanc avec l'héroïne.
J'ai adoré ce court livre, les personnages féminins m'ont énormément émue. Un triple éclairage sur les femmes dans différentes conditions et environnement. Une très jolie plume, bravo !
Agréable à lire, jolies tournures mais l'ouvrage ne se différencie pas de ses prédécesseurs, Musso est à la poursuite du twist final et détaille chaque personnage et lieu. Il ne reste plus grand chose à imaginer au lecteur.
Lu après avoir vu la série. Au début, j'ai eu dû mal à accrocher car je me souvenais de la fin et puis le style de Celeste Ng m'a embarqué dans son style élégant sur les thèmes de la maternité et du racisme dans un suburb typiquement américain des années 1990s.
Palpitante et bien menée, j'ai dévoré cette enquête. Un peu déçue que le focus reste sur Harry Hole et mette rapidement Katrine Bratt sur la touche. Faire que le personnage tombe enceinte alors qu'elle a clairement exprimé son désir de solitude rend la narration lourde.
On replonge avec plaisir dans l'univers de Lyra, hâte de lire la suite.
NB : c'est mieux (mais pas nécessaire) de lire la trilogie “A la croisée des mondes” avant pour mieux comprendre toutes les nuances et enjeux de cette nouvelle trilogie.
Je n'ai pas vraiment accroché avec le style. L'intrigue m'a laissée indifférente, que ce soit celle qui prend place dans la Venise que celle qui se déroule 400 ans plus tôt, que l'on découvre après les fastidieuses heures de recherches de notre héroïne.
Le vrai visage des personnages se révèle dans un final raté comme un soufflé qui n'aurait pas monté.
L'enjeu des malles dessert l'histoire, ce qui sert de romantisme est totalement insipide et le lecteur se retrouve à suivre la chercheuse dans ses trajets domicile-travail, passionnant..
Tome 3 très cool : nouvelle arche avec ses us et coutumes, nouveaux défi pour Ophélie avec un zeste de Thorn, j'ai accroché !
Décidément chaque mois l'auteure nous surprend dans la nullité sans nom. Je continue de lire parce que je n'aime pas arrêter une série en cours mais c'est du foutage de gueule à ce stade.
Comment est-ce possible que ce livre récolte une telle note alors que c'est nuuuuul.
A chaque chapitre, un nouveau drama. Oui on a compris, les 7 derniers mois ont permis à Mia de s'entourer d'une nouvelle “famille” toujours là pour elle.
Ridicule aussi l'histoire avec Blaine et bien sûr que son nouveau frère va lui lâcher le blé pour régler sa dette.
Je ne sais pas si c'est mal traduit mais abattre des arbres pour imprimer ce tissu d'inepties ça fait mal au coeur !
J'ai bcp aimé le style, fluide et imagé. L'innocence du personnage se mêle étroitement à l'horreur des événements.
Intriguée, je vais emprunter le 2 rapidement ! L'univers et les codes sont assez oufs.
Par contre, tous les perso sont des hommes, j'imagine que du point de vue de Asimov, il ne voyait pas le problème de représenter seulement des hommes.