Très riche !
J'aurais apprécié plus de chiffres sur la partie “avant d'être en couple” et quelques courbes pour illustrer le coût global, sur une vie (en gros) de ce que le couple/la société patriarcale coûte aux femmes, comparé à celui des hommes.
Meh, je vais arrêter les frais avec ce tome. A peine reposé, que je ne me souviens pas de l'histoire. C'était chiant, mêmes les scènes de cul.
Livre intriguant qui change des formats auxquels je suis habituée.
Je trouve toutefois les chapitres inégaux entre eux, certainement dû au fait qu'ils représentent différents personnages : j'en ai dévoré certains quand j'ai pris des heures à lire d'autres.
J'ai reposé le livre la tête remplie de questions.
J'ai apprécié réfléchir à la politique actuelle, au pouvoir que l'on donne à nos dirigeants, aux symboles qui nous importent au quotidien tout en étant frustrée sur le plan de l'histoire pure.
Prendre la France des petits villages comme trame de fond est génial et m'a entraînée dans de nombreux souvenirs et donné envie d'en créer d'autres.
Drôle et bien illustré, j'ai appris en riant ! Lecture à faire au fil de l'eau pour bien intégrer les données
Pas mon préféré de l'auteur, l'histoire reste intéressante avec l'écriture en flashback.
J'ai eu l'impression de lire une mini frasque historique plutôt que véritable un policier. Cela est sans doute dû à la révélation de l'affaire qui occupe nos héros dans le dernier chapitre et m'a laissé une impression de vite fait, de bâclé.
J'ai apprécié les nombreuses références musicales de l'époque.
Wahou, je n'en suis pas sortie indemne ! Cette fiction sur les ravages du SIDA aux Etats-Unis dans les années 1980s m'a bouleversée à plusieurs reprises. Ce n'est clairement pas un bouquin à lire pour se remonter le moral, sa lecture m'a énormément émue, parfois jusqu'aux larmes.
J'ai été révoltée par les difficultés des personnages à se soigner, ce qui fait écho à la situation actuelle que peut vivre le continent africain, et l'ignorance des gens quant à la transmission du virus. Il est certain que ces préjugés continuent d'être partagés par de nombreuses personnes 30 ans plus tard.
Moins fan de la partie qui se déroule en 2015 et du drama mère/fille.
Ce dernier tome (de la main de F. Herbert) fut peut-être le plus sensé de tous. Cette impression me vient de la continuité avec les personnages du tome précédent (oui, même si le ghola Idaho nous suit depuis le début). Je termine ce livre en ayant pris goût à l'intrigue même si tout cela demeure un peu wtf. J'ai été plus émue par l'hommage rendu à sa femme puis à l'auteur lui-même qu'à la lutte du Bene Gesserit pour sa survie.
Clairement, je n'ai pas accroché sur les nombreuses disgressions religieuses et métaphysiques, il doit me manquer une affinité à ce niveau.
Se lit comme un roman, j'ai adoré suivre l'évolution de Michelle. J'aurais aimédécouvrir plus de passages sur les liens avec les Biden.
Je m'attendais à quelque chose dans la plus pure chick lit. A la place, j'ai passé un moment plaisant à suivre Carry dans ses pensées et ses pérégrinations new-yorkaises.
Juste ouf ! Je m'attendais à une classique enquête de police avec un twist surprenant à la fin sur la véritable identité du meurtrier ou sur la victime et la raison de sa présence. Que nenni !
L'auteur nous embarque pour un voyage sans retour dans cette Afrique du Sud sauvage et magnifique.
L'auteur a su intégrer quelques personnages féminins (mais il faut encore progresser) à la psyché intéressante.
Quelques scènes de fin hardcore, dans l'ensemble j'ai apprécié ce style commando.
Wa pas bien compris ce que j'ai lu. Par le passé, j'avais adoré les policiers de Camilla Lackberg mais là, pff c'est d'un chiant. Impossible de m'attacher à l'héroïne et tout paraît invraisemblable. Le sous-titre en français est d'un sexisme en plus, dans le style une femme se laisse dominer par ses émotions : “douce et impitoyable”, pourrait-on voir ces deux adjectifs accolés à un homme ? “la vengeance d'un homme est douce et impitoyable”?
L'autrice a voulu illustrer le dicton “la vengeance est un plat qui se mange froid”?
Sous couvert de féminisme, l'autrice écrit de ces trucs..
Que penser de la BFF qui meurt du cancer mais pas avant d'avoir épousé l'homme qu'elle cherchait toute sa vie ? Une figure présentée comme vaguement féministe pendant toute l'intrigue mais qui ne peut être réellement heureuse qu'avec un homme. La marque Revenge créée pour rassembler des femmes trompées et humiliées par les hommes au capital, pour finalement vendre des putains de produit de beauté avec des instagirls comme ambassadrices. Les 2 copines font d'ailleurs remarquer que ce n'est pas très féministe de promouvoir des corps minces et jeunes. Bah tiens ! Le shaming de Yvla, amante puis femme de Jack. Quelle sororité construire quand on monte les femmes les unes contre les autres ? Elles sont victimes des mêmes abuseurs, bordel. Évidemment tout est justifié parce que "plot twist", Jack est un pédophile en puissance. 0 construction du personnage à ce niveau là, il doit être haïssable sur tous les plans : financier (il est nul avec les chiffres), émotionnel (il est persuadé que tout le monde lui aies soumis), familial (il baise une autre femme pendant que Faye accouche, il ne veut pas garder sa fille quand il a des week-ends mondains), et même vestimentaire (il se fait habiller par ses femmes successives). Je trouve un policier intéressant quand son "méchant" est un minimum complexe, pas un gros pataud qui sait bien sourire. On doit comprendre comment il réussit à séduire et soumettre Faye pendant 10 ans, ent il gère une entreprise qui fait une IPO. Bref, ultra déçue
Intéressant, un peu poil trop pamphlet à mon goût. J'aurais aimé une mise en perspective de certaines des politiques macron plus “sociales”. Mais bon, peut-être qu'il n'y en a pas !
La découverte du marais, de sa faune et flore est plutôt intéressante. J'ai été prise par l'intrigue, moins convaincue par le happy ending un peu mielleux.
Intéressant mais déprimant sur notre système de santé et de formation des médecins. Les situations décrites dans ce livre m'ont rappelé de “sympathiques” souvenirs de visite chez ma 1ère gynéco.
Hyper intéressant de découvrir ces deux mindsets/états d'esprit. J'aime beaucoup les nombreux outils que l'autrice nous fournit.
Par contre, j'ai trouvé que la lecture n'était pas très agréable. En français, les phrases font assez hachées et avec des conjugaisons étranges, peut être dû à une traduction trop littérale. Ou tout simplement au style très américain de l'autrice.
Une écriture féministe qui fait nous réfléchir sur le poids du masculin dans la langue française. J'ai moins accroché à l'intrigue, excepté cette dernière pirouette lorsque Pétronus réécrit les premières pages de l'essai que nous avons entre les mains avec la grammaire patriarcale que nous connaissons (où le masculin l'emporte donc) !
Bravo à Jean-Baptiste Coursaud pour cette traduction, je ne connais pas le norvégien mais trouver et inventer des équivalents tout en restant fidèle au texte d'origine représente une véritable gageure. Surtout merci à l'autrice Gerd Brantenberg pour cette idée de satyre fantastique !
L'intrigue est suffisamment prenante pour que je lise ce roman d'une traite, mais les personnages ne m'ont pas touchée. Le twist sur barbe bleue est peut-être un peu trop visible.
Comme d'habitude les Pinçon-Pinçon-Charlot présentent une étude sociologique riche et passionnante. L'ouvrage conclut sur les remerciements des deux sociologues qui partent à la retraite, un hasard bien triste qui fait coïncider ma date de lecture avec le décès de Michel.
Plongée humoristique et effrayante dans le 16e. Je suis toujours halluciné de lire les enquêtes des Pinçon-Pinçon-Charlot : ne pas hésiter à compléter cette lecture par quelques vidéos de la fameuse réunion publique. Ah ça, les rochons savent se comporter en société !
Beaucoup de longueurs sans doute dues à la mise en place des personnages. En réalité, je me suis accrochée car ma sœur a trouvé la saga passionnante. J'espère ne pas être trop déçue !
Je suis rentrée plus rapidement dans l'histoire. Je me pose un peu trop la question de ce que je trouve dans ce livre : si c'est vraiment du plaisir, ou une lecture débutée à finir. J'aime bien l'évolution de quelques perso : Polly et son questionnement sur qui elle veut devenir, Clary et son obstination pour son père. Pour Louise, je n'arrive pas à accrocher. Je ne saisis pas la relation avec sa mère, l'agression de son père sert de base à sa fuite familiale, mais je trouve la ficelle un peu grosse ou alors ça me saoule que ce mec s'en sorte sans conséquence en manipulant toutes les femmes de son entourage (sa femme, sa mère, sa maitresse, sa secrétaire).
J'attends plus pour la suite !
Toujours aussi emportée par cette série, surtout avec la découverte de la société des Feux.