Chantal Ide
Si vous faites des achats chez Walmart, vous devriez lire ce livre. Les épargnes que vous faites ont un coût - souvent humain.
Si vous ne faites pas d'achats chez Walmart, vous devriez quand même lire ce livre.
Une femme inspirante qui rédigeait en 1791 la « déclaration universelle des droits de la Femme et de la Citoyenne », les femmes ayant été complètement oubliées de la « Déclaration universelle des droits de l'Homme ». Pour avoir osé tenir tête à Robespierre, pour avoir osé demander l'égalité entre hommes et femmes, pour avoir « oublié sa condition de femme », elle fut guillotinée - la deuxième femme, peu de temps après Marie-Antoinette.
Lecture essentielle pour bien comprendre d'où viennent certaines idées préconçues. Non, l'horloge biologique n'existe pas. Non, les femmes ne sont pas plus heureuses entre une casserole et une couche. Non, travailler ne rend pas les femmes dépressives. Pourtant, ce sont des idées qui ont été largement diffusées autant dans les grands journaux que dans les magasines féminins. Susan Faludi alimente son argumentaire avec des chiffres et des études.
A must read for feminists, it clearly demonstrates that oppression can be fought by a unified class struggle.
Un livre essentiel pour mieux comprendre comment fonctionne les grandes fondations des hyper-riches.
Intéressant pour les aspects historique. Analyse politique qui laisse un peu à désirer (ex. ce n'est pas Pauline Marois qui a fait les CPE, mais plutôt le PQ qui a cédé après 20 ans de lutte des femmes de la classe ouvrière).
Un livre essentiel sur ce qu'est le travail à notre époque et surtout, ce qui est attendu des travailleuses et travailleurs contre des salaires de plus en plus inadéquats.
Les éléments techniques du livre sont excellents. Toutefois, un peu trop jovialiste sur certains éléments et des positions politiques de gauche-caviar un peu trop marqués.
“And the transformation needed if it is to be democratic, rather than technocratic, will have to be led by, not on behalf of, workers at Walmart, Amazon, Facebook and other transnationals.”
On y découvre la face cachée des startups et des “wanabee startups”: ce qui se cache derrière la novlangue et la table de baby-foot de l'entreprise. Les “smileys” qui ponctuent chaque courriel, le narcissisme du CEO qui est toujours sur Facebook, l'impossibilité de travailler efficacement dans un “open-space”, la hiérarchie plate (“flat-hierarchy”)... tout ça pour finalement ne pas aboutir à grand chose...
C'est après moults efforts de masculinisation du français qu'on prétend, aujourd'hui, que le masculin l'emporte sur le féminin. Mais ça n'a pas toujours été comme ça, et surtout, ça ne doit pas le rester. Dans ce petit livre, Eliane Viennot retrace l'historique de la langue française et propose des solutions simples et efficaces pour contrer les effets pervers d'une langue qui a tenté d'effacer les femmes.
